| Accueil | Créer un blog | Accès membres | Tous les blogs | Meetic 3 jours gratuit | Meetic Affinity 3 jours gratuit | Rainbow's Lips | Badoo |
newsletter de vip-blog.com S'inscrireSe désinscrire
http://-_touareg_-.vip-blog.com


HoriZon
VIP Board
Blog express
Messages audio
Video Blog
Flux RSS

HoriZon

VIP-Blog de -_touareg_-
misterhorizon@live.fr

  • 252 articles publiés
  • 10 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 21/01/2006 23:48
    Modifié : 02/12/2017 13:48

    Garçon (0 ans)
    Origine : Planète terre
    Contact
    Favori
    Faire connaître ce blog
    Newsletter de ce blog

     Juillet  2025 
    Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
    30010203040506
    07080910111213
    14151617181920
    21222324252627
    282930010203

    le Hoggar

    28/01/2006 14:50

    le Hoggar


    Dans certaines régions du Hoggar, à chaque printemps est célébrée l'Ahlal. L'Ahlal est la fête de l'Amour courtois, où la passion et le désir s'expriment selon un code social exigeant. Sous la tente, les jeunes filles joues de l'imzad, pendant que les jeunes hommes s'engagent dans des improvisations poétiques. Le jeune homme amoureux s'adressera à une jeune fille en particulier sans jamais révéler son nom. Les allusions ne seront comprises que par celle à qui elles sont adressées. Si la jeune fille concernée accepte de répondre aux avances du jeune prétendant, alors elle se lévera et l'invitera à s'assoir près d'elle. ----texte émanant de : © Galerie d'art Farid BENYAA - Alger - Algérie#j'ai trouvé ce texte beau, juste une évasion----






    Elle

    28/01/2006 12:42

    Elle


    Combien de fois as-tu pleuré toi la femme de ma vie... celle qui m'as été donnée. Tes yeux sont si fatigués lorsque tu me regardes. Tes rides sont si creusées lorsque tu me souris. Epaules si frêles dans mes bras je redeviens un instant ton petit. Visage d'une femme aimante posé délicatement sur mes épaules, se reposant ainsi. Me blottissant à mon tour contre toi te réchauffant de mon être, de ton sang qui coule dans mes veines faisant battre ma vie. Où sont ces instants de jeunesse où je cherchais ton regard ? Me rapprocher de tes lèvres les effleurant de mes mains et y déposer un baiser. Pas eu le temps de te voir ainsi vieillir, j'suis parti avant. A coups de poings et de larmes de sang tu t'es courbée. Femme d'une vie.. de ma vie. Mienne je voudrais te donner pour que tu puisses refaire, rattraper tout ça. Pourrais-je te la confier comme un trésor ? Pourrais je te donner cet instant magique où toi seule maman tu sauras remodeler ce fil d'argent, le façonnant à ta façon sous d'autres horizons..... je t'aime...  intimité entre elle et moi # pour elle, ma maDré !






    Conte de Noël

    28/01/2006 12:40

    Conte de Noël


    Un jour de neige. Un doux froid mêlé de légers flocons tombant du ciel. Les rues sont désertes. L'homme avance tenant par la main une ribambelle d'enfants. Sa femme les suit de loin, ses chaussures ne permettent pas d'aller plus vite. Les enfants sont joyeux ils rient de tant de neige. Passant devant une fenêtre éclairée ces derniers voient un sapin et une table dressée de victuailles. Des boites enrubannées sur cette même table et de couleurs différentes. Ils ont froid et ne comprennent pas pourquoi papa et maman ne rentrent pas au chaud dans cette maison qui.. semble si acceuillante. Papa regarde et, semblant ignorer cette scène, la larme à l'oeil dit aux enfants :" mes chéris nous allons sous le pont d'en face on se serrera un peu plus que d'habitude. Nous aurons moins froid ". Ils repartirent vers ce tunnel noir au milieu de nulle part et où quelques indésirables occupent les lieux peut être tout comme eux.. des rats..






    Fan

    28/01/2006 12:39

    Fan


    Une femme que j'aime entre autre.. un fantasme peut être qui sait..

    Original publié le 10/12/2005






    Internauts

    28/01/2006 12:37

    Internauts


    Par une nuit étoilée scintillante de mille feux j'articule celle ci.. ma vie.. sans larmes malgré qu'elles perlent sous mes rires.. exégèse à ma facon comme tant le font. Voyageur de l'esprit ayant posé ses bagages le temps d'une réflexion, laquelle je me demande. Mes mots parlent de lieux inconnus et tellement visités. Faire cela pour moi est un réel plaisir mais également pour les autres qui n'ont rien pour partir. Ma chair est faite de sang et de pépites de bonheur que je peux distiller aux plus démunis assoiffés de rêve et d'envie. Je suis toujours là bas.. dans ce pays lointain où les gens vivent dans des dunes chauffées par le soleil sourire aux lèvres. Cette histoire celle d'un être qui n'a pas eu vraisemblablement la chance de grandir avec ce mot qu'on dit.. amour. A chacun ses stigmates le temps d'un temps qui cesseront certainement un jour. Passage éclair sur une planète tant décriée et tant aimée.. Vécu comme à chacun de ces histoires que nos âmes s'efforcent de souffler au travers de quelques bribes bourrés de.. vie.. je remercie encore une fois les personnes passe ici s'arrêtant le temps de lire.. comme des voyageurs du net.. vagabonds du virtuel....






    Auteurs Féminins

    28/01/2006 12:36

    Auteurs Féminins


    Lettre pour personne

    J'aime les caresses...les doux baisers...les belles pensées...
    J'aime...Simplement...J'aime...
    J'aime me suffire à Etre...
    Etre pour aimer...et Etre pour Etre aimée...
    J'aime le parfum des mots...
    J'aime le parfum de ces mots...
    Je les dépose ici...comme j'aurai glissé une fleur entre les feuilles d'un carnet...entre les pages d'un livre...
    Je te confie ici...a toi..."personne"...le souvenir d'une pensée...une partie de moi...de mon âme...de mon Etre...
    Et... si on devait lire ces mots comme on effeuille une fleur...cherchant passablement... à faire passer le temps... dépouillant sans égards...sans regards...chacun de ces petits pétales de vie...Qu'importe...
    oui...qu'importe...l'essentiel étant simplement d'avoir pu Etre...
    ici...un instant...

     

    Né pour l'enfer

    Il n'était pas né du bon côté
    Sur son berceau, même pas l'ombre d'une bonne fée
    Dans ses ascendants, aucun quartier de noblesse
    En descendant de chez lui c'était un quartier pourri
    Pas question de faire rimer destin
    Avec fêtes et festins
    On accorderait plutôt combien et comment
    Avec emmerdements
    No comment

    Il savait déjà que sa vie serait pas vraiment une carte postale
    Le ciel bleu il le voyait parfois à la télé
    Les vagues il pensait que ça vivait dans un terrain

    Juste derrière l'usine désaffectée
    Un palmier, il en achetait des fois à la boulangerie
    Et le casino il y allait tous les jours
    Mais les seules machines à sous
    C'étaient la caisse à Caro
    Et celle à Didine
    Et personne ferait sauter la banque

    Dans son coin, un marginal
    C'est un gars qui travaille
    Heureusement les rues en sont pas trop infestées
    Sur le coup des onze heures le quartier s'anime
    Quand Momo tire sur tout ce qui bouge à la carabine

    C'est un petit coin tranquille où il se passe jamais rien
    Tout le monde se connait
    Et se regarde en chien de faïence
    On se croirait dans une salle d'attente
    En permanence
    Le jour du marché
    Il y a toujours de l'affluence

    La vie lui réserve des surprises
    Dommage que ça soit toujours des mauvaises
    Et pourtant il est revenu de tout, il est blasé
    La liberté pour lui c'est pas de la philosophie
    C'est quand il abandonne
    Ce qu'il appelle sa résidence secondaire
    Qui a tendance à se transformer en pied-à-terre

    C'est pas l'hosto pourtant il y fait de longs séjours
    Avec un peu de chance il y finira ses jours
    Près de ses amis, de sa famille
    Logé gracieusement
    Par notre belle administration pénitentiaire
    A l'abri des retards de loyers
    Et des soucis ordinaires

    Voyez comme la vie est bien faite
    Chaque fois qu'on le libère, il croit qu'on l'enferme
    Il n'a qu'une hâte c'est de rejoindre son cocon
    Celui qu'il s'est tissé à force de faire le con
    Et dont on ne sort pas en se transformant en papillon
    Car il vous laisse dans votre bel état de larve
    Fragile, pas finie, qu'on se dépèche d'écraser
    En prenant ses jambes à son cou
    Pour éviter son odeur nauséabonde
    Celle qui s'exhale de l'enfer
    Où sont échoués ceux qui ne savent pas y faire
    Bienvenue en enfer...
     

     Non titré

    En parcourant la toile, je me retrouve face a la détresse, a l insatisfaction, la morosité...tout le monde court après le bonheur, et ne le trouve pas. Pourquoi? Peut-etre n est il pas la ou nous le cherchons, peut-etre ne savons nous pas le voir....qui a éprouvé un immense bonheur (jusque dans ses tripes, au plus profond de lui-meme)simplement en étant a l écoute du moineau qui s éveille a l aube, ou bien en observant une fleur des champs qui semble vouloir etre plus belle encore pour nous donner ce sentiment de sérénité... Tous ces petits cadeaux de la vie ne semblent plus etre suffisants a combler ce manque...manque de quoi? Entrons au fond de nous, nettoyons tout ce qui génère souffrance, jalousie, haine, et engendre mal-etre...si nous ouvrions la voie de l Amour (au sens noble du terme), celle de lacompassion...la Terre, qui nous a offert le plus beau des cadeaux qu est la Vie redeviendrait un Jardin d Eden... Ne cherchez pas ailleurs ce qui est déjà en vous...l important n est pas d adorer le miroir,mais de s y mirer et de reconnaitre sa nature intrinsèque....Naivement, peut-etre, J ai confiance en la nature humaine, je pense qu une nouvelle ère est a l ébauche, et que nous saurons etre moins betes que ceux que nous appelons péjorativement "betes", eux savent ceque nous avons tout oublié...je terminerai par un mot d un ancien blogeur qui m est tres cher "la vie reve qu il faut savoir vivre"...a méditer :-)

     

    Entre quatre murs

    Toi, le sans limites, Te voilà réduit dans ta vie, A quatre murs qui s’effritent Et quatre barreaux gris.

    Des serrures qui claquent, Des mouettes qui crient, Sur la grille, une plaque : Accès interdit.

    Un soleil à rayures Sur un lit dont le matelas n'est plus, Dans ton cœur, une écorchure

    Qui ne se fermera plus. Ta seule clef pour l’évasion, Ton esprit qui part en voyage,

    Paradoxale intrusion Dans la froideur, un mirage Plane au-dessus de la prison. Des kilomètres de plages Bien au-delà de l’horizon. Et se résume ton espoir Au pardon de ta mère Durant la trêve du parloir,

    Quelques échanges ordinaires. Tu re-franchis les couloirs Pour pleurer dans ta cellule, Elle repart le cœur noir Qu’un sourire amer dissimule...

       je précise que ces femmes je les connaissais pas, je leur ai demandé elles ont acceptées d'écrire un peu de leur pensée ici. Merci pour elles, ces anonymes !






    Ses mots

    28/01/2006 12:35

    Ses mots


    Papier journal tu t'es déchiré.. l'encre a jauni tes mots.. ils se sont envolés.. effacés selon l'humeur des saisons.. je ne saurais les lire.. danse frénétique invoquant des dieux pour le retour de ces derniers.. la pluie est tombée détrempant le papier.. je me perds encore une fois dans ces eaux troubles.. qu'est le temps.. je ne sais plus déchiffrer.. attendant le soleil qui réchauffera ces mots pour moi.. je l'espère...
    Original publié le 07/12/2005






    SilenCe noiR

    28/01/2006 12:32

    SilenCe noiR


    Le soir, soleil couchant, de drôles d'insectes se faisaient entendre.. crissement incessant de bestioles et ce toute la nuit.. je me suis jamais risqué d'aller rencontrer ces noctambules bizarres aux allures de fêtards dans les broussailles.. la nuit, tout était sombre ici. L'électricité était chose rare en ces lieux. Des cris lointains se faisaient entendre mêlés de formes traversant en courant ce dédale de rues. Comme des fantômes.. moi-même devenant une ombre marchant vers je ne sais où. Des baraques disséminées au coin des ruelles comme des points de halte pour aventuriers. Des bruits sourds semblaient être portés par la sécheresse, comme un appel.. comme une détresse.. "les bars à putes". Etonnament surprenant là où le monde ne semble plus exister elles étaient là à attendre " le client ".. les puTes. Maquillées à outrance. Des filles vêtues d'une époque que je n'ai pas connu. Poussant l'entrée en empruntant une porte défoncée tenue par des vis rouillées, se trouvait une pièce étranglée entre quatre murs.. une planche en bois posée sur des meubles n'ayant rien à envier à un architecte d'intérieur et servant de bar. Dans un recoin, se tenait un jukebox à l'origine yankee.. semble t il.. s'il pouvait parler. 

    Les chansons étaient francaises. Le ton était donné entre Claude Francois et Edith Piaf.. que je connaissais pas non plus. Dans mon quartier le rap voyait le jour.. alors Piaf. Cet endroit très cauchemardesque ressemblait à rien. Vide de présence sauf les putes.. éclairés de lumière bleue et rouge comme un attrape nigaud, nous étions malgrè nous devenus moustiques tournoyant sous ces mêmes lumières sans réel avenir sauf celui de se faire brûler. J'avais commandé (et le mot est grand) une boisson à cette présence féminine que je n'avais pas remarqué. Le ton rouge envahissant la pièce cachait la noire aux lèvres outrageusement peintes. Un Whisky artisanal mêlé d'un jus arômatisé style coca pensais je en tenant mon verre comme pour me réchauffer. Je crois qu'à un moment je suis tombé sur un banc abasourdi par cette ambiance glauque et où Edith criait de plus en plus fort.

    J'me posais la question de savoir qui m'avait entrainé dans ce trou à rats et pourquoi j'étais là à me faire dévisager par ces femmes noires. Bien qu'aucune d'entres-elles ne ressemblaient à un de mes flirts, à mon tour je dévisageais stupéfait ces formes triplement clonées qui s'esclaffaient en une langue de merde. Mal assuré, je tombais à terre cette fois-çi. Le sol était dur et l'odeur qui s'en dégageait à vomir. Dans un effort surhumain, je tentais tant bien que mal de redresser cette carcasse seule et désemparée. En une fraction de secondes un doux parfum envahissait ce taudis; le visage de cette femme me vînt brusquement à l'esprit.. cette femme si belle, si aimante que mes lèvres avaient approché à plusieurs reprises quand j'étais enfant. Posant ma tête contre ses seins comme pour me réchauffer de mes peurs.. ma mère, celle que j'avais laissé derrière moi, là-bas, loin, très loin.. je ne savais plus quelle route emprunter pour revenir vers elle et quel océan traverser pour l'embrasser. J'avais perdu la notion du temps. J'étais saoul en fait. (il était une fois en afrique de l'Est)






    Quai oublié..

    28/01/2006 11:55

    Quai oublié..


    Un port de misère. Toi la fille des mers chaudes ton regard est ailleurs. Corps svelte noir et brillant d'amour ton adolescence est encore là. Tu as les yeus braqués sur les dollards. Monnaie à la couleur fade pour une fille éclatante de beauté. Bars aux néons illuminés en rouge et vert pâle. Putes noires en ces lieux sans noms et sinistres. Perdue dans ce tourbillon nauséabond.. ruelles coupe gorges et infâmes. Tu tapines. Cages de nuit pour fantômes vêtus de lambeaux étoilés. Semblant de joie en apparat de soie trouée sur un tempo merdique. Sourires forcés et jouissance déguisée pour touristes avides de culs. Contraintes journalières d'un peuple misérable. ----#quelque part dans l'océan indien----  filles de Djibouti#costumes locaux#----






    Constat

    28/01/2006 11:53

    Constat


    De l'autre côté je suis passé. Un temps.. rien qu'un temps. Voir si celui ci s'arrêterait. Je n'ai pas vu de lumière si douce et tellement décrite. J'ai parlé à des gens absents. Les voix semblaient sourdes. Mon regard éteint. Des bruits lointains. Revenant peu peu de cette létargie forcée j'ai refais surface. J'ai vu ces visages penchés sur moi et j'ai compris qu'ils étaient là me parlant tous d'amour. Débranchant cette machine.. sans elle j'ai repris.. ----#pour un ami 2004#----






    Début | Page précédente | 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 | Page suivante | Fin
    [ Annuaire | VIP-Site | Charte | Admin | Contact -_touareg_- ]

    © VIP Blog - Signaler un abus